Nouvelles du Groupe Banque TD
- Selon les résultats du 11e sondage annuel mené par TD Waterhouse auprès des femmes investisseuses, les Québécoises laissent peut-être passer des occasions d'investir
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MONTRÉAL, le 16 nov. 2011 /CNW/ - En matière de placements, les Québécoises ont-elles des besoins différents de ceux des Québécois? Faut-il beaucoup d'argent pour effectuer des placements fructueux? Le 11e sondage annuel mené par TD Waterhouse auprès de femmes investisseuses, auquel ont répondu des Canadiennes âgées de 45 à 64 ans qui prennent part à la planification financière de leur ménage, a révélé que les femmes investisseuses au Québec ne tirent peut-être pas pleinement parti des occasions d'investir à cause d'idées fausses.
« Les placements représentent un élément essentiel du pécule amassé pour assurer son avenir financier », indique Sylvie Demers, vice-présidente régionale et chef de marché, TD Waterhouse. « Il n'est pas nécessaire d'avoir de solides connaissances en finances ni de disposer d'une épargne substantielle pour commencer à investir. Un conseilleur peut vous aider à séparer les faits des idées reçues, à planifier et à bâtir un solide avenir financier. »
Voici les conseils de Sylvie Demers aux femmes investisseuses.
Idée reçue : Il n'est pas nécessaire d'établir un plan financier à moins d'avoir de lourdes dettes ou d'être sur le point de prendre sa retraite.
Seulement 30 % des Québécoises disent avoir établi un plan financier. Or, tout le monde devrait disposer d'un tel plan - d'abord pour établir des objectifs financiers à long terme, ensuite pour déterminer les mesures à prendre à court terme pour les réaliser. Quel que soit l'objectif à atteindre - rembourser ses dettes, épargner en vue d'un achat important ou commencer à planifier sa retraite -, un plan financier détaillé est la clé de la réussite.
« Il est décevant de constater que si peu de Québécoises disposent d'un plan financier documenté. Il s'agit pourtant d'une façon essentielle de vous assurer que vos investissements vous permettront de réaliser vos objectifs financiers, affirme Mme Demers. Un conseiller peut vous aider à élaborer un plan financier qui servira de feuille de route vers l'objectif que vous vous êtes fixé. Ce plan tient aussi compte des obstacles qui peuvent jalonner cette route. Ainsi, vous ne vous réveillerez pas la nuit en vous demandant si vous avez fait de bons placements. »
Fait : Les femmes ont des motivations différentes de celles que peuvent avoir les hommes
en matière de placements.
Près de six Québécoises sur dix (58 %) sont d'accord pour dire que
l'attitude des femmes à l'égard des placements et du recours à un
conseiller est réellement différente de celle des hommes.
Les femmes devraient tenir compte de facteurs particuliers susceptibles d'avoir des répercussions importantes sur leurs placements, comme le fait qu'elles vivront peut-être plus longtemps que leur conjoint ou qu'elles seront appelées à s'absenter de leur travail pour s'occuper de leurs enfants.
« Il se peut également que les femmes recherchent une expérience différente de celle des hommes lorsqu'elles font appel à un conseiller et qu'elles prennent des décisions de placement.
Par exemple, elles pourraient chercher à obtenir, de la part de leur conseiller, une meilleure connaissance des questions financières et de l'information sur les marchés, afin d'être aptes à participer activement à leurs décisions de placement », observe Mme Demers. Pour réussir sur le plan financier, il faut notamment se fixer des objectifs à court, à moyen et à long terme et créer un plan réaliste qu'il sera important de respecter si ces événements de la vie se concrétisent.
Idée reçue : Il faut beaucoup d'argent pour effectuer des placements fructueux.
Au Canada, les Québécoises sont les plus susceptibles de croire qu'il
faut disposer de fonds substantiels pour investir (58 % par rapport à
45 % à l'échelle nationale).
« Il n'est absolument pas nécessaire d'avoir beaucoup d'argent pour commencer à investir, mais vous devriez définir clairement vos objectifs au préalable, affirme Mme Demers. On ne monte pas à bord d'un avion sans savoir où l'on s'en va. Il en va de même des placements : on ne devrait pas investir sans savoir ce que nos placements nous permettront de réaliser. »
« Il est bénéfique de programmer des dépôts automatiques et réguliers, qu'ils soient petits ou gros. Vous verrez ainsi vos fonds croître avec le temps. En tirant parti des intérêts composés, vous pouvez réellement faire fructifier vos fonds », ajoute Mme Demers.
Idée reçue : Pour faire équipe avec un conseiller, il faut bien connaître les marchés
financiers.
Bien que près de la moitié (48 %) des Québécoises aient été d'accord
avec cet énoncé, il n'est pas nécessaire d'être spécialiste pour faire
équipe avec un conseiller.
Il est bon d'avoir une certaine connaissance des marchés financiers et de leurs mécanismes. Cependant, le rôle du conseiller consiste en fait à dispenser des conseils, à se renseigner sur les marchés et à suivre de près leur évolution pour ses clients. « Vous auriez tort d'éviter d'investir et de recourir à un conseiller parce que vous ne vous sentez pas compétente », poursuit Sylvie Demers.
Au sujet du sondage mené par TD Waterhouse auprès des femmes investisseuses
Le sondage mené par TD Waterhouse auprès de femmes investisseuses a
porté sur 1 000 Canadiennes âgées de 45 à 64 ans, dont 231 au Québec,
qui prennent part à la planification financière de leur ménage. Les
résultats ont été recueillis dans le cadre d'un sondage en ligne auprès
des Canadiennes investisseuses par le groupe Environics Research, du 22
au 28 septembre 2011.
Au sujet du Groupe Banque TD
La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement
par l'appellation « Groupe Banque TD » (TD). Le Groupe Banque TD est la
sixième banque en importance en Amérique du Nord d'après le nombre de
succursales et il offre ses services à environ 20 millions de clients
regroupés dans quatre secteurs fondamentaux exerçant leurs activités
dans plusieurs centres financiers clés partout dans le monde : les
services bancaires personnels et commerciaux au Canada, offerts
notamment par TD Canada Trust, TD Assurance et Financement auto TD; la
gestion de patrimoine, incluant les activités de TD Waterhouse et un
investissement dans TD Ameritrade; les services bancaires personnels et
commerciaux aux États-Unis offerts notamment par TD Bank, America's
Most Convenient Bank, et TD Auto Finance U.S. ainsi que les services
bancaires de gros, fournis entre autres par Valeurs Mobilières TD. De
plus, le Groupe Banque TD se classe parmi les plus grands prestataires
de services financiers en ligne du monde, puisqu'il compte plus de sept
millions de clients qui font des affaires par voie électronique. Au
31 juillet 2011, le Groupe Banque TD possédait des actifs de 665
milliards de dollars canadiens. La Banque Toronto-Dominion est inscrite
sous le symbole « TD » aux Bourses de Toronto et de New York.
Au sujet de TD Waterhouse
TD Waterhouse représente les produits et les services offerts par
TD Waterhouse Canada Inc. (membre du Fonds canadien de protection des
épargnants), Gestion privée TD Waterhouse Inc., Services d'assurance
TD Waterhouse Inc., Services bancaires privés TD Waterhouse (offerts
par La Banque Toronto-Dominion) et Services fiduciaires privés TD
Waterhouse (offerts par La Société Canada Trust).
Fiona Hirst
Groupe Banque TD
514-289-1670
fiona.hirst@td.com
Charles Durivage
Morin Relations Publiques pour le Groupe Banque TD
514 289-8688, poste 227
Charlesd@morinrp.com
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