Le 11^e sondage auprès des investisseuses révèle qu'au Québec, les femmes et les hommes n'empruntent pas la même voie vers la réussite financière

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MONTRÉAL, le 5 déc. 2011 /CNW/ - Les femmes et les hommes du Québec entrevoient la réussite financière de façon différente - et il ne s'agit pas ici de voitures rutilantes, ni de biens de luxe. Selon le 11^e sondage TD Waterhouse sur les investisseuses, mené auprès de femmes et d'hommes canadiens âgés de 45 à 64 ans qui partagent la responsabilité des finances de leur ménage, le principal critère du succès financier pour les femmes du Québec est d'avoir épargné suffisamment d'argent pour les situations d'urgences, alors que pour les hommes, c'est l'épargne accumulée en vue d'une retraite confortable.

Quant aux mesures adoptées pour réussir sur le plan financier, elles diffèrent également selon le genre au Québec. Ainsi, les hommes sont plus enclins à rembourser intégralement les soldes des cartes de crédit (60 % contre 50 % des femmes), tandis que les femmes sont plus portées à établir un budget pour la gestion des dépenses (61 % des femmes contre 52 % des hommes).

« Bien qu'il puisse y avoir des divergences sur le principal critère de la réussite financière et la meilleure stratégie pour y arriver, c'est encourageant de voir que les femmes, comme les hommes du Québec, adoptent des mesures concrètes pour rendre prioritaire l'accumulation de l'épargne et la planification de la retraite, affirme Maryse Filion, directrice régionale principale, Est du Québec, Planification financière TD Waterhouse. Les hommes et les femmes du Québec ont bien ciblé des critères importants de la réussite financière. »

Maryse Filion offre son analyse des différences entre les sexes et des conseils pour atteindre la réussite financière.

Quelle est votre définition de la réussite financière?
Les hommes québécois sont nettement plus enclins à considérer qu'ils ont réussi sur le plan financier que les femmes (79 % contre 65 % respectivement), et leur conception de cette réussite diffère également de celle des femmes. Les femmes du Québec sont plus enclines que les hommes à considérer le fait d'avoir accumulé suffisamment d'argent pour les situations d'urgence (62 % contre 51 % respectivement) et de régler les factures à temps (60 % contre 56 % respectivement) comme étant des critères de succès financier. De plus, à la fois les hommes et les femmes du Québec considèrent que l'épargne en vue d'une retraite confortable (57 %) et l'absence de dettes (54 % contre 53 % respectivement) constituent des critères importants de succès financier.

Fait rassurant, la majorité des Québécois jugent que pouvoir s'offrir des objets de luxe n'est pas un indicateur de réussite financière : ils ne sont que 16 % chez les femmes et 13 % chez les hommes à estimer que pouvoir se payer une superbe voiture, une maison d'été ou des bijoux de grand prix est révélateur de succès sur le plan financier.

« Je suis heureuse de constater que pour la majorité des Québécois, les biens de luxe ne constituent pas un critère de réussite financière. Ils sont plutôt axés sur une gestion responsable de leurs finances, en accordant la priorité à l'épargne-retraite, à la gestion de leurs dépenses courantes et à l'épargne en cas d'imprévus, déclare Maryse Filion. Bien qu'il soit important de bien définir pour soi ce que constitue la réussite financière et de se fixer des objectifs financiers précis, il est tout aussi important d'établir des mesures qui permettront de les atteindre. L'établissement d'un plan financier constitue un bon point de départ et l'un des moyens les plus importants de se mettre sur la voie d'une stabilité financière future. »

Atteindre la réussite financière
Il y a également divergence entre les mesures adoptées par les femmes et les hommes pour atteindre la réussite financière. La grande priorité des hommes québécois est de rembourser intégralement les soldes des cartes de crédit (60 %), tandis que celle des femmes est de contrôler les dépenses en établissant un budget (61 %). Bien qu'il s'agisse de deux façons importantes d'atteindre la réussite financière, il est également essentiel de consulter un conseiller professionnel, mais cela semble beaucoup moins prioritaire pour les répondants des deux sexes (26 % chez les hommes contre 23 % chez les femmes).

« Un conseiller financier peut vous offrir des conseils et des renseignements qui vous aideront à atteindre vos objectifs, explique M^me Filion. Ce qui importe avant tout, c'est d'établir des objectifs précis - et de travailler à leur réalisation. Établissez des objectifs financiers à court, à moyen et à long terme, et prenez des mesures concrètes pour les atteindre. »

La majorité des femmes du Québec ne s'y trompe pas quand il s'agit d'investir pour l'avenir. Neuf femmes sur dix croient qu'il faut commencer à investir le plus tôt possible, même s'il s'agit de petites sommes (93 %). Elles reconnaissent également l'importance d'éviter de s'endetter dans la mesure du possible : 66 % d'entre elles disent qu'elles préfèrent reporter un achat important plutôt que d'acheter à crédit.

« Vous ne pouvez pas vous permettre de remettre à plus tard la création et la mise en œuvre de votre plan financier, ajoute Maryse Filion. Seule l'adoption de mesures concrètes visant la réalisation d'objectifs mesurables peut vous assurer la réussite financière. Donc, le plus tôt vous vous mettrez sur la bonne voie pour réaliser vos objectifs, plus votre situation financière sera avantageuse. »

Au sujet du sondage TD Waterhouse sur les investisseuses
Le sondage TD Waterhouse sur les investisseuses a été mené auprès de 1 000 femmes canadiennes âgées de 45 à 64 ans, dont 231 provenaient du Québec, et de 500 hommes canadiens âgés de 45 à 64 ans, dont 100 provenaient du Québec, qui partagent la responsabilité de la planification financière au sein de leur foyer. Les résultats de cette étude ont été recueillis par le groupe Environics Research à l'aide d'un sondage en ligne auprès des investisseuses canadiennes, mené du 22 au 28 septembre 2011, et auprès des investisseurs canadiens, du 18 au 21 novembre 2011.

Au sujet du Groupe Banque TD
La Banque Toronto-Dominion et ses filiales sont désignées collectivement par l'appellation Groupe Banque TD (TD). La TD est la sixième banque en importance en Amérique du Nord d'après le nombre de succursales et elle offre ses services à environ 20,5 millions de clients regroupés dans quatre secteurs clés qui exercent leurs activités dans plusieurs centres financiers névralgiques dans le monde : Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, y compris TD Canada Trust, TD Assurance et Financement auto TD au Canada; Gestion de patrimoine, y compris TD Waterhouse et une participation dans TD Ameritrade; Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis, y compris TD Bank, America's Most Convenient Bank et Financement auto TD aux États-Unis, et Services bancaires de gros, y compris Valeurs Mobilières TD. En outre, la TD figure parmi les principales sociétés de services financiers par Internet du monde, avec plus de 7,5 millions de clients en ligne. Au 31 octobre 2011, les actifs de la TD totalisaient 686 milliards de dollars CA. La Banque Toronto-Dominion est inscrite à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York sous le symbole « TD ».

Au sujet de TD Waterhouse
TD Waterhouse représente les produits et les services offerts par TD Waterhouse Canada Inc. (membre du Fonds canadien de protection des épargnants), Gestion privée TD Waterhouse Inc., Services d'assurance TD Waterhouse Inc., Services aux clients privés TD Waterhouse (offerts par La Banque Toronto-Dominion) et Services fiduciaires privés TD Waterhouse (offerts par La Société Canada Trust).